Une professionnelle du Centre d’Activités de Jour a monté un projet avec les personnes accueillies au sein du Centre d’Activités de Jour afin de sensibiliser les usagers des autres établissements et services au tri sélectif.
L’objectif est de réaliser des outils pédagogiques pour qu’ils constituent de véritables supports d’ateliers d’initiation.
Suite à un Appel à Projet Télémédecine de l’ARS Normandie, il a été possible de doter le Foyer d’Accueil Médicalisé (FAM) d’outils de Télémédecine.
Pour réaliser ces consultations à distance nous utilisons la plateforme Therap-e santé déployée par Normand-eSante (NeS), Groupement Régional d’Appui au Développement de la e-Santé (GRADeS)
La première consultation a été réalisée à l’occasion d’un rdv avec le Dr KUCZERA, psychiatre, en décembre dernier.
Le consentement, pour cette consultation à distance, a été demandé au résident grâce à un document de recueil adapté à la compréhension de celui-ci.
Avec la création, au préalable, d’un compte utilisateur par le médecin, la connexion à distance s’est réalisée très facilement. Le Dr KUCZERA était à son cabinet, utilisant un ordinateur et une Webcam.
Au FAM, une tablette est dédiée aux consultations de télémédecine. Il y a également un stéthoscope, un dermatoscope (caméra de haute résolution pour les consultations de dermatologie) et un électrocardiogramme (pour l’enregistrement de l’activité cardiaque lors des consultations de cardiologie), tous connectés.
La consultation a eu lieu dans l’infirmerie. Le Dr PARISET – médecin coordinateur du FAM – a accompagné le résident pour cette première téléconsultation. Tout s’est bien déroulé et le résident en a été très satisfait.
Cette avancée numérique est un réel avantage pour nos résidents (optimisation du parcours de santé inclusif dans le cadre global d’un projet de vie, meilleure accessibilité à certaines disciplines avec limitation les déplacements difficiles…)
Nouvelle aventure pour Lydie, après plusieurs années de travail au sein de l’ESAT de l’Association Le Pré de la Bataille et plus particulièrement en restauration collective.
Lydie vient de décrocher un CDI et occupe désormais un poste d’équipier chez BURGER KING Rouen Gros Horloge.
Merci à tous ceux qui ont participé à son accompagnement et qui lui ont permis d’ouvrir ce nouveau chapitre de sa vie professionnelle. Lydie, nous indique qu’elle est un peu stressée mais tellement heureuse de se lancer dans ce nouveau défi.
Dans le cadre de notre adhésion à AFRESAT, l’Association a pu bénéficier des services de Tevi TV. L’objectif étant de mener un reportage sur la reconnaissance des compétences des opérateurs d’ESAT. Nous avons souhaité mettre en lumière les parcours d’inclusion en milieu ordinaire des personnes accompagnées par les ESAT de l’Association.
Rendez-vous pris le 07 décembre dernier où nous nous sommes retrouvés dans les locaux de l’entreprise Abysse Corp. Abysse Corp est une entreprise normande, sensibilisée au handicap, qui conçoit, fabrique et distribue ses propres produits dérivés sous licences officielles. Ainsi, Nicolas GRUEL, directeur supply chain, nous a ouvert ses portes afin de témoigner du partenariat mené depuis de nombreuses années. Aujourd’hui, il a recruté en CDI un travailleur d’ESAT et fait intervenir tout au long de l’année une équipe de l’ESAT pour des mises à disposition au sein de son entreprise.
Nicolas GRUEL a accepté de témoigner sur son parcours avec l’Association et sur la plus-value à travailler avec des personnes en situation de handicap. Pour finir, Elsa LECEFEL, Coordinatrice Prestations Service, a présenté un parcours d’inclusion réussi et enfin, Christopher PEZARD nous a fait un retour d’expérience sur son parcours.
Le film sera mis en ligne dans les semaines à venir.
Un grand merci à tous les participants !
Priscillia interviewe Elyne au sujet du tableau ci-dessus pour savoir comment elle a procédé. Elyne nous dit que ce tableau la représente, qu’elle tient un parapluie. Pour obtenir ce résultat, Elyne explique qu’une photo a été prise sous un parapluie et qu’ensuite, grâce à celle-ci, elle a pu, avec de la peinture, se reproduire sur une toile.
Le jeu a ensuite été de faire deviner qui était sous ce parapluie. Rares ont été les bonnes réponses. L’effet de surprise était au rendez vous.
Les autres jeunes du groupe, Jonathan et Thomas nous exposent aussi leur tableau les représentant. Ils ont utilisé la même technique que leur camarade Elyne.
La directrice de l’IME a beaucoup apprécié leur travail et a exprimé, si possible, pouvoir exposer un ou deux tableaux au sein de l’IME pour embellir encore le site. Les jolies couleurs égayent les couloirs et mettent en avant le potentiel des jeunes de ce groupe de la SAMAB. Félicitations à eux.
Cette sortie s’est faite au Zoo de Thoiry « les lumières sauvages » avec les plus jeunes enfants de l’IME.
L’éducatrice témoigne :
« Nous sommes partis dans l’après-midi de l’IME pour une heure de trajet. Au bout de 10 minutes de route, Lena nous demande si nous sommes bientôt arrivés. Forcément cela fait sourire car le trajet risque de lui sembler long. Sa remarque est intéressante car elle renseigne sur son rapport à la temporalité.
Une fois sur place, les enfants ont eu le plaisir de faire le goûter dans le véhicule en observant la nuit tomber.
Nous avons bénéficié de la générosité d’une personne qui nous a offert une place pour les enfants ! Une personne très touchante.
Une fois qu’il faisait bien nuit, nous avons pu profiter du parcours illuminé. Dès les premiers pas, nous étions dans un autre univers : féérique, magique. On aura pu se croire dans les forêts colorées et fantastiques du film Avatar. D’ailleurs Serigne (qui éprouve des difficultés à exprimer ses émotions) a répété plusieurs fois « WOUHAAAAA c’est beau ! ». Avec des étoiles plein les yeux, ils regardaient les différents animaux grandeur nature pour certains, animés pour d’autres.
Le plaisir des sens a pris le dessus sur le froid extérieur. Ce fut un temps de partage hors du temps compte-tenu de l’atmosphère et incroyablement « ordinaire » de par l’absence des troubles du comportement qui peuvent envahir certains enfants au quotidien.
Après avoir fait un pique nique dans le véhicule au chaud (tout en respectant les distances 😉 ) nous sommes repartis en direction de l’IME.
Les enfants se sont très certainement endormis sans problème à la maison, des souvenirs plein la tête, émerveillés de leur soirée. Et nous, professionnels sommes restés avec une satisfaction d’une mission accomplie et le cœur rempli de leurs beaux sourires » Alicia L.
Nous pouvons sentir dans ce témoignage que la professionnelle parle avec son cœur et l’on sent que ce moment a été très fort !!
En ce début d’année 2022, le service Cap emploi Dieppe a quitté ses locaux historiques situés dans l’ancienne clinique des fougères pour emménager au cœur du centre de ville de Dieppe, à quelques pas de la mairie et des principales institutions (Pôle emploi, CAF, Centre des impôts).
Nous avons profité de la fin du bail de location des anciens locaux pour privilégier l’option de l’achat pour les nouveaux réalisant ainsi un investissement durable.
Les collaborateurs de Cap emploi étant en fréquents déplacements au sein des agences pôle emploi, l’implantation des espaces de travail a été pensée pour favoriser le travail collectif et les échanges entre professionnels lors des temps de présence à Cap emploi. Les équipes ont participé à la réflexion sur l’aménagement et leurs propositions ont été retenues.
Les bureaux sont en libre service et non nominatifs, chaque collaborateur s’installe où il le souhaite.
Les espaces sont principalement ouverts, reflet de la volonté de décloisonner les bureaux auparavant individuels et fermés.
Même si les locaux sont parfaitement fonctionnels et accueillants, nous prévoyons cette année quelques travaux d’embellissement. La réfection complète des sols est déjà planifiée pour Février et il est envisagé de refaire les peintures murales afin d’offrir à tous un cadre harmonieux.
Le 18 novembre et 2 décembre dernier, j’ai eu l’opportunité de participer à un groupe de travail autour de la Bibliothèque publique d’informations (BPI) de Sotteville les Rouen.
Avec divers acteurs de la vie sociale : usagers de la bibliothèque, directeur de librairie, élus, employés de bibliothèque, supervisés par des chercheurs universitaires en sociologie et économie, nous avons réfléchi à l’impact des valeurs véhiculées par la bibliothèque municipale.
Il ressort de ce travail que la bibliothèque municipale a un impact positif à 4 niveaux :
Afin de pouvoir quantifier toutes ses valeurs, nous avons travaillé sur l’élaboration d’indicateurs nous permettant une mesure objective.
Malgré l’effet positif qu’apporte une bibliothèque municipale, il est tout de même noté que certains publics en situation de précarité sociale, financière ou handicap, ne s’autorisent pas à investir ces lieux.
Le rendu final de ce travail a eu lieu lors d’une réunion riche en échanges le 20 janvier dernier.
Fanny AVENEL, éducatrice spécialisé au SAVS
